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Kal...so lost...
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24 juin 2007

un article bien fait ...

« Bondage et discipline, domination et soumission et sado-masochisme »
Le collier est un des principaux symbole du BDSMLe BDSM, acronyme de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sado-Masochisme, est un ensemble de pratiques sexuelles marginales, fondées sur une relation consentante de dominant à dominé. Cette domination pouvant s'exercer de façon psychologique et/ou par le biais de contraintes physiques. On parle aussi en termes plus modernes de « jeux d'échanges de pouvoir ». Les pratiques BDSM peuvent avoir lieu dans un couple, mais aussi entre groupes de plusieurs dominés et dominants.

Elles sont de deux types : domination, entrave, humiliation, pour le premier type, et parfois, en plus, lorsque la douleur intervient, elles entrent dans le deuxième type.

Les partenaires pratiquent ces jeux afin d'obtenir par l'exacerbation de leurs sens et de leurs fantasmes un plaisir sexuel plus intense. Mais, dans certains cas, anaphrodisie, il ne s'agit que de parvenir à une ébauche de plaisir sexuel.

Pour certains, ce plaisir sexuel se double d'une décharge d'endorphine : la douleur provoque la sécrétion de cette morphine naturelle, qui peut plonger le sujet dans un état d'euphorie. D'autres font appel à des « adjuvants » (alcool, « toniques » divers, voire drogues).

Principales pratiques
On peut rencontrer, dans les pratiques BDSM :
  • Les membres attachés : menottes, cordes, collier, bâillon.
  • Privation des sens (yeux bandés, bâillon)
  • Le fantasme de l'attente : attendre sans savoir ce qui se passera, ni quand
  • Le vocabulaire de type "Maître(sse)~Esclave" : tutoiement, vouvoiement
  • Des humiliations faites (tonte et rasage des aisselles, du corps, du pubis, des cheveux)
plus rarement : Des coups, qui sont parfois pratiqués (fouet, fessée), de la brûlure à la cire de bougie, ...
Législations
Les législations des principaux pays occidentaux n'interdisent plus les pratiques sexuelles BDSM. Il ne faut pas confondre la soumission volontaire, pratique sexuelle, et les violences conjugales. Comme il ne faut pas confondre BDSM avec sado-masochisme, la dimension de douleur est nettement moins présente dans le BDSM qui se centre principalement sur l'aspect domination, ie. la dimension psychologique.
Santé et sécurité
Certaines de ces pratiques sont dangereuses, telles que le fouet, les aiguilles, la cire chaude, etc. Elles peuvent provoquer des blessures allant parfois jusqu'à l'éborgnement, des brûlures, des coupures et peuvent devenir des risques d'infections ou de transmission de maladies (VIH, hépatites B et C...). Il est à noter que la cire chaude est une pratique courante dans le BDSM. Toutefois, ce sont généralement des cires blanches, ou des cires colorées spéciales qui fondent à basse température qui sont employées. Tout comme les menottes sont pour la plupart dotées de renforts afin de protéger les poignets.

Il peut être sécurisant de filmer la scène. Cela permet de montrer dès le début, par un enregistrement, la pleine et entière volonté de la pratique par les participants. De plus, en cas d'abus, un recours à la video permet de voir qui a fauté, quelles règles n'ont pas été respectées.

Quoi qu'il en soit, la pratique du BDSM — comme toute pratique sexuelle — ne dispense ni ne remplace les sentiments des partenaires l'un envers l'autre. Il n'existe pas de "code" à respecter pour "être" ou non BDSM, seule la confiance mutuelle des partenaires, et les sentiments qu'ils se vouent mutuellement en définissent le cadre.
Safeword, ou code de sécurité
Le safeword est un signal d’urgence, le « pouce ! On arrête ! » du jeu BDSM qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu’il doit immédiatement et sans discussion interrompre l’action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible.

En substitut de l’anglophone safeword est parfois proposé le plus francophone veto, qui était, dans la Rome antique, la formule utilisée par les tribuns du peuple pour s’opposer aux décrets du Sénat. Le "droit de veto", dans le BDSM, désigne l’éventuelle possibilité de refus catégorique que peut opposer la personne qui se fait dominer envers une action qui lui déplaît, et ne doit pas, en ce sens, être confondu avec le code de sécurité – destiné, lui, à alerter le partenaire d’un danger potentiel dont il n’aurait pas conscience.

Dans un souci d’éviter toute confusion avec d’éventuelles suppliques qui seraient simulées dans le cadre du jeu SM, les partenaires conviennent en général d’un « mot magique » qui sera sans ambiguité reconnu en tant que safeword verbal. « Stop ! », par exemple. Code de sécurité ou droit de veto, le safeword est toujours à considérer comme appelant une réaction de la plus haute urgence, quelle que soit la situation, et aussi anodine puisse-t-elle paraître aux yeux de celui qui contrôle les événements.
Respect
Il est très important, pour les deux partenaires (dominant et dominé) de toujours conserver à l'esprit le confort du partenaire dominé. On peut, par exemple, envisager la rédaction d'un contrat entre les deux partenaires afin d'établir clairement les limites à ne pas dépasser.
Citation
Dans Pop model, les mémoires de Lio écrites avec Gilles Verlant on peut lire : « Il existe des femmes qui aiment les rapports masos, ça les excite ; elles font très bien la différence entre l’acte sexuel, où elles apprécient certaines choses qui sont de l’ordre du lien, de la coercition, même accompagnée de fessée, de coups de cravache, dans le cadre d'un jeu librement consenti, et la violence conjugale qu’elles ne supportent absolument pas par ailleurs. »
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Commentaires
K
oui je le trouve bien fait ...
M
Mdrrr! Je sais d'ou tu l'as tiré cet article, ja'i pris le meme pour chez moi, tout en rajotant des modifs! ;)
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